Cet Erard a été fabriqué en 1841 à Paris. Son placage est du courbaril, bois exotique très chaleureux et ramageux.
La restauration complète de cet instrument nécessite le remplacement du sommier des chevilles, la restauration de la table d’harmonie, les regarnissage des feutres de mécanique et clavier, la conservation de l’ivoire et de l’ébène du clavier d’origine, les réparations de placages, un vernis gomme laque naturelle au tampon, un réglage complet de la mécanique et une préparation d’harmonisation très poussée pour les concerts de la Collection Balleron.